domingo, 22 de febrero de 2015

Quand ils sont là (les musiciens)





En este año que recordamos a Edith Piaf en el centenario de su nacimiento,  resultan muy oportunas las palabras de esta canción de J. Kapler interpretada por Yannick Noah y que celebra la existencia de los músicos, los que acompañan al cantante  y le hacen mejor de lo que es. Seguro que la Môme suscribiría igualmente esta letra.

Je suis mieux que moi, quand ils sont là




jueves, 19 de febrero de 2015

Sous le ciel de Paris

PARIS, toujours Paris, son ciel, ses chansons et ses chanteurs et chanteuses ...




Sous le ciel de Paris, un éxito de Edith Piaf de 1954 ( letra de Jean Dréjac y música de Hubert Giraud, de la película Sous le ciel de Paris de Julien Duvivier.  Un divertido vídeo de la versión que la joven cantante ZAZ ha hecho recientemente.


Pero han sido muchas los cantantes que la han versionado. Entre ellos, otro de los grandes de la canción francesa, Yves Montand

miércoles, 11 de febrero de 2015

A quoi ça sert l'amour

En estos días que taaaaanto se va a hablar del amor y de sus tópicos, un petit cadeau que nos dejó Edith Piaf y su amado Théo Sarapo envuelto en un clip de Louis Clichy




Une histoire d'amour,
qui dure chaque jour, 
une saint Valentin, 
en la prennant par la main ... 
Le jour où on ne fait qu'un,
l'amour est là en la Saint Valentin, 
on apprécie ce jour plus fort,
 et on oublie les moments ou on a eu tord ...
 La saint Valentin n'est pas qu'une journée,
 mais bien toute une année, 
même si on en parle qu'à un moment
L'amour est là tout le temps ... 
La saint Valentin en la prennant par la main,
l'aimer plus fort que tout,
jusqu'à en devenir fou,
et la regarder,
sous cette journée emerveillée ...
Anonyme



domingo, 1 de febrero de 2015

N'oubliez pas le parapluie

En días como estos, viene bien recordar un clásico de la canción francesa ...




l pleuvait fort sur la grand-route,
Ell’ cheminait sans parapluie,
J'en avait un, volé, sans doute,
Le matin même à un ami ;
Courant alors à sa rescousse,
Je lui propose un peu d'abri.
En séchant l'eau de sa frimousse,
D'un air très doux ell’ m'a dit « oui ».

Un p’tit coin d’ parapluie,
Contre un coin d’ paradis.
Elle avait quelque chos’ d'un ange,
Un p’tit coin d’ paradis,
Contre un coin d’ parapluie.
Je n’ perdais pas au chang’, pardi !

Chemin faisant que ce fut tendre
D'ouïr à deux le chant joli
Que l'eau du ciel faisait entendre
Sur le toit de mon parapluie !
J'aurais voulu comme au déluge,
Voir sans arrêt tomber la pluie,
Pour la garder sous mon refuge,
Quarante jours, quarante nuits.

Un p’tit coin d’ parapluie,
Contre un coin d’ paradis.
Elle avait quelque chos’ d'un ange,
Un p’tit coin d’ paradis,
Contre un coin d’ parapluie.
Je n’ perdais pas au chang’, pardi !

Mais bêtement, même en orage,
Les routes vont vers des pays ;
Bientôt le sien fit un barrage
A l'horizon de ma folie !
Il a fallu qu'elle me quitte,
Après m'avoir dit grand merci.
Et je l'ai vu’, toute petite,
Partir gaiement vers mon oubli…

Un p’tit coin d’ parapluie,
Contre un coin d’ paradis.
Elle avait quelque chos’ d'un ange,
Un p’tit coin d’ paradis,
Contre un coin d’ parapluie.
Je n’ perdais pas au chang’, pardi !